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Les pompes funèbres Cornet-Mockel offrent les services classiques d’une entreprise du genre mais pas que…

« On se distingue de la concurrence par le service qu’on offre »

C’est en 1946 que l’entreprise de pompes funèbres Cornet-Mockel a vu le jour, à l’initiative de M. et Mme Mathieu Cornet-Mockel qui fabriquaient des cercueils. « En 1986, leur fils Jean a repris les rênes de la société et ouvert le premier funérarium de Verviers, place Sommeleville, tout en développant l’assistance funéraire », explique Nathalie Cornet-Mockel, sa fille qui est l’actuelle gérante. « Depuis que j’ai 14 ans, j’aide mes parents dans l’entreprise. J’y suis entrée en 1992 avec un contrat de travail après avoir étudié à l’Institut britannique d’embaumement ». Quand on lui demande si elle aurait pu prendre une autre voie professionnelle que celle des pompes funèbres, la réponse fuse. « J’ai toujours voulu travailler avec mes parents. Après ma rhéto, j’ai, un temps, pensé faire la médecine mais, comme j’aidais déjà mes parents, j’ai eu envie de continuer, d’autant que j’ai perdu ma maman en 1998. Mon choix de vie s’est confirmé », ajoute-t-elle.

Aujourd’hui, l’entreprise se distingue de ses concurrents par les services qu’elle propose, en plus des services traditionnels (organisation complète de funérailles, crémation, formalités, assurance frais funéraires…). « Une conseillère travaille avec moi et est là pour assurer tout le suivi administratif après l’enterrement. Elle fait l’envoi des certificats de décès pour les formalités que les familles doivent remplir. Toutes les familles en bénéficient et je pense que c’est un « plus » », poursuit Nathalie Corne-Mockel.

Soutien et réconfort

La société dispose de 3 funérariums (celui ouvert par le papa place Sommeleville, à Verviers, un autre à Wegnez et un troisième à Heusy) qui ont tous été récemment rénovés, dans un esprit plus lumineux et plus contemporain. Le siège administratif est, lui, à Dison. « Les accueils sont désormais les mêmes sur les trois sites ».

Quand on lui demande si elle ne fait pas un métier trop difficile car étroitement lié à la mort et à la tristesse des familles, elle n’hésite pas. « C’est clair que ce n’est pas tous les jours facile mais ce qui m’apporte beaucoup, c’est que justement on apporte énormément aux familles. On les réconforte, on les soutient et on oublie, quelque part, le côté triste. Je suis quelqu’un de très empathique mais, une fois que le travail est fini, je le laisse derrière moi. C’est vrai que je travaille beaucoup mais j’aime bien aussi, quand j’ai le temps, de lire, de profiter des thermes, de partir seule et de me balader. De faire le vide dans ma tête loin du téléphone », conclut-elle.

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