Devenir indépendant, ça a, un peu, été comme une évidence pour Jean-Philippe Darcis. L’entrepreneuriat, il l’a, en tout cas, envisagé très tôt dans son parcours professionnel. « A l’internat, dès la 5e ou 6e, je dessinais déjà mon futur logo dans ma chambre. Je pense que les entrepreneurs ont ça en eux. Quand on est jeune, on est aussi peut-être plus insouciant ». La chose dont il est le plus fier ? « La chocolaterie. Avoir réussi à sortir un bâtiment et un concept pareil par rapport à l’artisan que j’étais et que je suis : 2.900 mètres carrés, 50 personnes… Je ne suis évidemment pas tout seul. C’est avec mon ex-épouse et les équipes que j’ai réussi à le mener ».
Papa de deux grands garçons (de 16 et 20 ans), il a aussi une « petite rawette de 10 mois », comme il dit. Ses hobbies ? « Mon métier ! Mais j’aimerais évidemment plus de temps à consacrer à la petite. A part ça, j’aime bien me promener. Il y a des coins superbes dans la région et j’aime bien marcher quand j’ai le temps ».
Le sport ? « J’aimerais bien ! », ajoute-t-il en riant. « Plus jeune, j’ai fait beaucoup de foot mais quand on est dans un boulot comme le mien, qu’on travaille de nuit, c’est difficile d’être frais pour être sur le terrain le dimanche matin et faire son match. Il faut que je recommence le sport car je suis toujours en train de goûter des produits et de faire des découvertes et c’est difficile de rester svelte dans de telles conditions ». A-t-il des passions ? « Non, pas vraiment. Je regarde un peu la télé. J’aime bien regarder le foot mais ce n’est pas une folie non plus », conclut-il.