Malgré son jeune âge (30 ans), Benjamin Born a déjà un parcours professionnel bien rempli. Après ses études secondaires à Saint-Roch à Theux, il est allé étudier à HEC-Liège un master en sciences de gestion avec une spécialisation en analyse financière et audit. Ce Theutois pur jus (ses grands-parents tenaient un magasin de fleurs sur la place) a ensuite poursuivi avec un échange Erasmus en Pologne où il est resté 6 mois. « Ensuite, je suis allé un an en tant qu’auditeur financier chez Price Waterhouse Coopers au Luxembourg et deux ans chez BDO à Battice, toujours comme auditeur, où j’ai appris à bien connaître les entreprises de la région », explique-t-il.
« Etre auditeur, c’est une très bonne école. J’ai été approché par le bureau de recrutement Robert Half. J’avais déjà travaillé par mal pour le circuit de Francorchamps en tant qu’étudiant et cette connaissance du circuit a été un atout. Avant d’arriver chez Remondis, j’avais travaillé pour de grosses structures bien rôdées et, ici, ça a vraiment été un challenge : arriver dans un groupe mondial mais qui est géré comme une PME. Quand il y a un problème, je mets les mains dans le cambouis, comme on dit. Il y a du planning, de l’opérationnel, du financier… ».
Benjamin est entré chez Remondis en juillet 2019. Depuis septembre 2021, il en est administrateur, en compagnie de Christophe Garcia.
Faire du résultat
A côté de son travail, Benjamin a d’autres passions. En couple et papa d’une petite fille de 10 mois, il est aussi sportif. « J’aime faire de la course à pied et même des trails de 20 ou 30 kilomètres. Du vélo aussi. J’ai fait de l’athlétisme quand j’étais plus jeune, au club de Spa. J’ai toujours un esprit de compétition et j’aime bien faire du résultat », ajoute-t-il en riant. « Je cours aussi avec ma compagne et des amis ». A part ça, il aime voyager même si la crise covid lui a appris à apprécier la Wallonie. « On habite dans une superbe région et on aime bien y marcher ».
Enfin, on apprend de lui qu’il aime manger et cuisiner. « Je regarde encore bien des émissions de cuisine en italien. Ça doit venir de mon papa qui était boucher et qui fabriquait des plats traiteur. J’aimais bien cuisiner avec lui », conclut Benjamin.
