A Eupen, le magasin Lederland, le spécialiste du salon en cuir, propose plus de 150 modèles tous styles. L’occasion de faire le point avec Werner Havernith, le patron, sur les grandes tendances du moment et sur ce que les Wallons apprécient en termes de salon…
Depuis que Werner Havernith a repris l’enseigne Lederland à Eupen, il a doublé la superficie des show-rooms et mis sa connaissance du secteur au service de ses employés et de ses clients. « Ce qui nous différencie des concurrents, c’est notre connaissance du secteur. Les vendeurs ont plus de 20 ans d’expérience et peuvent conseiller les clients au mieux. De mon côté, il y a plus de 35 ans que je suis dans le milieu. Si on veut durer, il ne faut pas raconter de bêtises au client », explique-t-il en riant.
Le magasin se présente comme le spécialiste cuir des salons, des canapés-lits et fauteuils, avec plus de 70 types de cuir, plus de 150 modèles exposés mais aussi un choix de plus de 1.000 coloris pour un salon sur mesure qui vous ressemble vraiment. « Le client vient avec ses mesures et nous créons avec lui un salon sur mesure fabriqué en Europe ». S’il a beaucoup de clients allemands, Werner Havernith reçoit aussi beaucoup de Wallons. « Je vais dire que dans 80% des cas, il aime bien avoir un relax dans son salon. Il apprécie les formes douces, le confort souple ainsi que les tons de gris qu’on retrouve dans 50% des cas. C’est une couleur à la mode mais aussi, à la fois, neutre et intemporelle. Le noir, par exemple, qui, avant, était choisi une fois sur deux, n’est plus du tout demandé », ajoute-t-il.
Nouvelle collection
Les modèles évoluent au fil des ans. « Auparavant, le relax était mécanique. Aujourd’hui, on y trouve jusqu’à 2 ou 3 moteurs pour plus de confort ».
Les soldes sont une belle occasion de trouver le modèle de ses rêves. « Si on aime les modèles exposés, il y a moyen de faire de très belles affaires. La nouvelle collection est également déjà là. Elle est très colorée, avec notamment du rouge, du bleu clair ou même du vert, la nouvelle tendance. Et on remarque que si, par le passé, le Wallon jouait plutôt la sécurité, il aime bien, depuis quelques années, prendre plus de risques, oser la couleur et les compositions. Aller également vers des modèles plus exclusifs qui restent pourtant confortables », conclut Werner Havernith.
